Vous avez le désir d’aider les personnes en souffrance, vous aimez chercher, comprendre, analyser en profondeur, et trouver des solutions pour soulager les autres ?
Dans le domaine de la formation psychothérapie, nous pouvons rencontrer deux approches : uniciste ou pluridisciplinaire.
Certaines écoles dispensent un enseignement d’un seul courant. Elles considèrent que c’est l’expertise d’un seul domaine qui permet d’avoir la compétence nécessaire à l’accompagnement. D’autres, comme Ita’Com, proposent d’allier plusieurs modules pour agrandir le champ de compétences.
Pour argumenter en faveur d’un champ pluridisciplinaire, je vais prendre un parallèle qui pourra surprendre de prime abord.
Grâce à ces changements, les psychothérapeutes peuvent acquérir les connaissances et l'expertise dont ils ont besoin pour fournir des soins de la plus haute qualité à leurs clients.
Pour pratiquer les deux, je peux trouver des similitudes entre la danse et la psychothérapie.
Tout d’abord, les deux sont basées sur le corps. En danse, on utilise son corps pour exprimer ce qu’on ressent, et en psychothérapie, nous relions toujours les informations aux sensations corporelles. Deuxièmement, les deux activités permettent de se connecter à ses émotions et d’exprimer sa personnalité. Enfin, les deux peuvent être très créatives ! La danse offre une façon unique d’exprimer ce qu’on ressent, et en psychothérapie, il y a souvent une place pour l’imagination et la créativité (par exemple, en effectuant des exercices de visualisation). Si nous envisageons plus spécifiquement les danses de couple, il y a bien cette dimension de la relation à l’autre. Se connecter, se comprendre et ainsi établir un contact confortable pour les deux partenaires. Le leader guide son partenaire, que l’on nomme follower, tout en lui laissant un espace d’expression.
C’est ce que nous construisons dans une relation thérapeutique : le thérapeute guide son patient avec ses compétences techniques, ses qualités relationnelles. Mais il lui laisse aussi la place nécessaire pour exprimer, verbaliser ce qu’il ressent.
Mais au-delà de tout cela, il y a un autre point commun qui m’apparaît de façon évidente.
Toutes les danses reposent sur un socle de connaissances applicables à différents courants musicaux. Je vais être plus précise. Il y a différentes bases universelles, et notamment la musicalité, le gainage, le guidage.
La musicalité consiste à savoir repérer le rythme et les temps forts d’une musique pour adapter les figures et donner cette impression de fluidité, Vous avez peut-être déjà été subjugué par le spectacle d’une danse improvisée où vous avez pu croire qu’il s’agissait d’une chorégraphie apprise ? Pourtant, il n’en était rien. C’est grâce à cette musicalité que l’on peut s’adapter en temps réel à une musique sans avoir à dérouler des séquences apprises par coeur.
Ensuite, le gainage. Vous souvenez vous de ce film, Dirty dancing, où l’actrice doit apprendre à se tenir droite, avec un bon maintien de son dos, de ses bras, et délimiter son espace ? C’est ce que l’on appelle le gainage.
Enfin, le leader doit apprendre à gérer ses propres pas, son propre corps et son style. Et en même temps il doit anticiper chaque figure pour l’indiquer à son partenaire sans le surprendre ou le brutaliser. Le follower, quant à lui, apprend à suivre le guidage, sans anticiper, sans gêner le leader par des mouvements parasites ou en allant à contre-courant.
Lorsqu’un danseur maîtrise tout cela, il est en mesure d’apprendre aisément n’importe quelle danse.
Bien sûr, il devra s’habituer à des variations de rythme, des nouveaux pas de base, une façon différente d’utiliser son corps. Il pourra avoir besoin d’un temps d’intégration pour une nouvelle dans. Mais ses bases acquises lui permettront de le faire avec fluidité, car elles sont transposables d’une danse à l’autre.
Que l’on danse le tango, le rock ou la salsa, la musicalité, le gainage et le guidage se retrouvent invariablement.
Et bien en psychothérapie, c’est la même chose.
Il y a des bases qui concernent tous les courants de thérapie. On peut en citer plusieurs : savoir écouter, analyser, déclencher les prises de conscience par des jeux de questions pertinents. Un bon thérapeute sait aussi déterminer un axe de travail thérapeutique, choisir la technique appropriée à chaque problématique. Et dans tout cela, il sait également repérer l’état émotionnel de la personne pour ajuster sa conduite de séance.
Découvrir un nouveau courant de psychothérapie, c’est intégrer un nouvel angle de vision, apprendre de nouvelles techniques de résolution. Mais tout cela s’intègre dans un ensemble qui demeure le même.
Dans notre formation psychopraticien, nous mettons un accent fort sur l’intégration de ces bases indispensables. Et pour cela, nous misons sur la mise en pratique. S’entraîner sur des cas réels apporte cette fluidité indispensable à la conduite d’entretien.
Pour chacun des modules, nous travaillons sur différents axes. Ainsi, à la fin de l’apprentissage, les bases fondamentales de la posture du thérapeute sont acquises.
Pour en savoir plus sur l’approche intégrative : vous pouvez consulter cet article.
Que reste-t-il ?!
Par exemple, dans le module PNL, nous découvrons une grande caisse à outils, avec un grand nombre de techniques à utiliser en séance. Mais nous ne nous contentons pas de donner des recettes toutes faites. Nous apprenons aussi à définir avec précision la problématique en jeu pour la personne. C’est ce qui nous permettra de déterminer un axe de travail thérapeutique à mener. Nous nous entraînons également à mettre en place un jeu de questions pour faire émerger le noyau de la problématique. Et nous voyons également comment repérer les états émotionnels de notre client, c’est ce qu’on appelle le calibrage.
Cette formation complète vous permet d’acquérir toutes les connaissances théoriques et techniques nécessaires à un accompagnement efficace en psychothérapie.
« Les personnes que j’ai eu l’occasion de former et qui se sont révélées les plus talentueuses ne sont pas celles qui avaient cumulé le plus d’acquis théoriques, mais celles qui étaient en quête de sens. »
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