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Petit mot d’introduction
Avant de commencer, parlons vrai
Commençons par briser quelques mythes, voulez-vous ?
Non, vous n’avez pas besoin d’être une personne froide et détachée pour être un bon thérapeute.
Et non, vous n’avez pas besoin d’avoir « tout réglé » dans votre vie avant de commencer !
Mon conseil : Ce qui compte vraiment, c'est votre envie d'aider les autres et votre capacité à créer du lien. Le reste, on l'apprend !
Le métier aujourd’hui, concrètement
Laissez-moi vous raconter une anecdote qui illustre parfaitement l’évolution du métier.
L’autre jour, une cliente me dit : « Vous savez, avant de venir, j’étais suivie par un psychiatre. Ma sœur m’a parlé de vous… Au début, j’étais réticente à l’idée de voir quelqu’un qui n’était pas psychologue, mais aujourd’hui, ça fait trois ans qu’on travaille ensemble ! »
C’est ça la réalité de 2025 : les gens cherchent avant tout quelqu’un qui peut les aider, peu importe le titre exact.
Je vais être directe : être thérapeute aujourd’hui, c’est porter plusieurs casquettes.
Vous êtes à la fois :
Mais ne paniquez pas ! On apprend tout ça étape par étape.
Le chemin pour y arriver
On alterne théorie et pratique. On apprend les techniques, on s'exerce, on échange avec d'autres apprenants. C'est passionnant !
Que ce soit un cabinet ou une pratique en visio, l'important est de créer un cadre professionnel qui vous ressemble.
Là, on met en place les actions pour attirer ses premiers clients. Et croyez-moi, avec les bons outils, ça peut aller assez vite.
Les trucs qui font la différence
Ce qui m'a surprise : Les clients viennent souvent nous voir pour une raison (manque de confiance en soi, par exemple) et découvrent que c'était lié à tout autre chose. C'est la magie du métier !
Je vois beaucoup de débutants qui se perdent dans des sites web complexes. L’essentiel ? Une page d’accueil claire qui présente votre approche, une section « À propos » authentique qui raconte votre parcours, et une page contact efficace. C’est suffisant pour démarrer !
J’ai remarqué que les clients de différentes générations n’ont pas les mêmes préférences. Les plus jeunes adorent la visio (parfait pour les ados !), tandis que d’autres préfèrent le contact en cabinet. En proposant les deux, vous touchez un public plus large. Pour le cabinet, commencez par une location à la journée ou en co-working, c’est plus sage.
C’est mon conseil préféré ! Ces échanges sont précieux, surtout au début. Vous pouvez partager vos questionnements, apprendre des expériences des autres, et même recevoir des recommandations de clients. J’ai vu de belles collaborations naître de ces réseaux d’entraide.
Un conseil bonus qui fait toute la différence : la première séance est cruciale. Préparez une trame claire pour vous guider, tout en restant flexible. L’objectif est que le client reparte avec le sentiment d’avoir été vraiment écouté et avec une première piste de travail concrète.
Question qui fâche : les sous !
Je sais que c’est une préoccupation majeure, alors soyons transparents. Pour démarrer, comptez :
Pour finir sur une note positive
Vous savez ce que j’aime le plus dans ce métier ? C’est de voir mes anciens apprenants s’épanouir dans leur nouvelle vie de thérapeute. Si vous ressentez cet appel, ne laissez pas vos doutes vous freiner. Au contraire, ces questionnements montrent que vous avez les qualités pour faire ce métier !
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