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Devenir psy à 40 ans: les bonnes raisons de se lancer

Ce que vous allez découvrir

Devenir Psy à 40 ans

Et si, à 40 ans, vous décidiez de changer de carrière ? Arrivées au sommet de leur maturité professionnelle, de plus en plus de personnes sont soucieuses de s’ouvrir de nouveaux horizons. L’idée de devenir psy à 40 ans (ou dans la quarantaine, ou encore à 50 ans) se concrétise donc dans les esprits audacieux ! Que l’on soit mûri par une passion ancienne ou poussé par une aspiration nouvelle, la reconversion vers le métier de psychopraticien peut offrir un sens profond et durable.

Alors si vous faites partie de ces gens prêts à sauter le pas, cet article est pour vous. Ici, nous vous détaillons les étapes, formations, défis et solutions pour devenir psy à 40 ans, en alliant conseils et témoignages inspirants.

Pourquoi envisager une carrière de psy à 40 ans ?

Souvent, l’idée de devenir psy n’est pas née à l’instant mais enracinée depuis longtemps – une curiosité pour le fonctionnement mental, un goût pour l’écoute, un désir d’aider l’autre. Chez Ita’com, nous rencontrons parfois ces témoignages de gens qui cherchent à concrétiser un vieux rêve. Leurs questionnements sont les mêmes : à 40, à 45 ans, est-ce trop tard ? Et nous leur répondons par les histoires de ceux qui sont devenus psys, eux, à 50 ans voire plus !  

Les compétences transférables issues d’un premier parcours

À 40 ans, on dispose d’un bagage professionnel et personnel riche : empathie, communication, gestion du stress, organisation, esprit d’analyse… Et l’avantage par rapport à un novice, c’est que nombre de ces compétences sont précieuses dans la formation et la pratique du métier de psy. Elles offrent un socle solide pour s’appuyer, rassurent et permettent d’oser un nouveau départ. Après tout, on a bien vu d’autres !

Cela nous rapproche de l’idée d’un bilan de compétences : essayez de faire le point sur ce que vous savez de mieux, sur ce que vous préférez faire, sur les compliments reçus tout au long de votre carrière professionnelle… Vous saurez alors si la psychothérapie est faite pour vous emmener, vous, sur des chantiers prometteurs.

Un métier en phase avec les aspirations personnelles

Reconversion Psy 40 ans

Le métier de psy allie dimension humaine, intellectuelle et sens du service. Souvent, il répond à une quête de sens, à l’envie de contribuer au bien‑être d’autrui. C’est donc moins une nécessité financière qu’une véritable orientation sur ce qui compte vraiment pour soi. Et ça, n’est-ce pas la clé du bien-être ? Comme le dit ce proverbe chinois que l’on retrouve à foison sur internet : « Si trouves un travail que tu aimes, tu n’auras pas à travailler de tout le reste de ta vie » (ou quelque chose comme ça !).

A 40 ans, on est beaucoup plus au clair avec ce que l’on souhaite vraiment, ce qui est aligné avec nos valeurs et nos aspirations profondes. Et l’on peut souvent bien plus facilement se projeter qu’à 25 ans, à présent que les compétences et le réseau professionnels sont bâtis et stabilisés. Alors, si 20 ans est le bel âge, le bel âge professionnel ne serait-il pas 40, surtout pour devenir psy ?

Et si vous deveniez psy sans passer par un diplôme universitaire ?

Ce que signifie “sans diplôme” dans le contexte des métiers de psy

Parler de « devenir psy sans diplôme » ne signifie pas s’improviser thérapeute du jour au lendemain, et encore moins ignorer la complexité de la relation d’aide. Il ne s’agit pas non plus de contourner les exigences du métier de psychologue, dont le titre est strictement protégé par la loi et nécessite un master en psychologie.

Mais à côté de cette voie universitaire longue et exigeante, il existe aujourd’hui des alternatives professionnelles sérieuses. Ce sont des formations privées, souvent conçues spécifiquement pour des adultes en reconversion, qui permettent d’exercer des métiers dans le champ de la psychothérapie, dans un cadre éthique et encadré. Ce sont ces voies que découvrent de plus en plus de personnes autour de la quarantaine.

Est-ce que ça vous tente ? Chez Ita’com, nous avons des programmes sur-mesure qui répondent à ces aspirations.

Des métiers accessibles à 40 ans : psychopraticien, coach, sophrologue

Psychopraticien, coach en développement personnel, sophrologue, praticien en PNL, en hypnose ou en gestalt-thérapie : tous ces métiers sont aujourd’hui bien présents dans le paysage de la relation d’aide. Ils ne donnent pas droit au titre de psychologue, mais ils permettent d’exercer en tant que praticien, en libéral, auprès d’un public varié.

L’avantage ? Les formations sont souvent plus courtes (un à trois ans, parfois moins), plus concrètes et centrées sur la pratique. Elles s’adaptent aux emplois du temps d’adultes actifs et permettent une reconversion progressive. Lequel de ces avantages est le plus concret pour vous ? A 40 ans, ils vous touchent tous plus ou moins, d’une manière ou d’une autre.

Se former sérieusement, sans retourner sur les bancs de la fac à la quarantaine passée

S’il n’y a pas de diplôme universitaire requis pour devenir psychopraticien, cela ne signifie pas que n’importe quelle formation fera l’affaire. Il est essentiel de choisir un organisme de formation reconnu dans le secteur, qui propose un programme solide, un encadrement par des professionnels expérimentés, et surtout un accompagnement à la pratique réelle (supervision, mises en situation).

Certaines écoles proposent des modules sur la posture thérapeutique, la déontologie, la gestion de la relation avec le client, autant d’éléments clés pour exercer de manière responsable. À 40 ans, on n’a plus envie de perdre du temps. Se former sérieusement, c’est aussi respecter les futurs clients que l’on souhaite accompagner.

S’installer en tant que psy à 40 ans : mode d’emploi

Créer son activité avec méthode et lucidité

Passé la formation, vient le temps de l’installation. Nous avons un article complet qui vous détaille cela ! Ouvrir son propre cabinet, travailler en libéral, demande un minimum de préparation. Il faut choisir un statut juridique (auto-entrepreneur, entreprise individuelle, etc.), trouver un lieu adapté, souscrire aux assurances nécessaires (notamment en responsabilité civile professionnelle), et se pencher sur les obligations fiscales.

Pour cela, vous pourrez compter sur l’accompagnement de votre école, si vous avez bien choisi celle-ci : elle vous offrira son savoir-faire, le réseau et les témoignages de celles et ceux qui, avant vous, ont affronté les mêmes obstacles (et les ont surmontés).

Mais au-delà de l’administratif, il y a une question plus profonde : comment je veux exercer ? À 40 ans, on connaît mieux ses limites, ses forces, ses préférences. On peut concevoir une activité sur-mesure, en adéquation avec ses valeurs et son mode de vie.

Devenir Psy 40 ans Itacom

Trouver ses premiers clients : miser sur l’expérience de vie

Ce qui freine beaucoup de nouveaux praticiens, c’est la peur de ne pas « trouver de clients ». Pourtant, dans la quarantaine, on a un atout incomparable : son vécu. Une reconversion tardive inspire confiance. Vous n’êtes pas un étudiant sorti de l’école, mais un adulte avec une histoire, une expérience, une maturité. Cela se sent, et cela rassure.

De nombreux praticiens racontent que leurs premiers clients sont venus via leur réseau personnel ou professionnel. Le bouche-à-oreille, le témoignage, la sincérité : à l’ère des réseaux sociaux, l’authenticité est votre meilleure carte de visite. Apprenez à raconter votre parcours, à valoriser votre singularité, sans surjouer un rôle.

Et si vous avez (ou pensez avoir) un réseau moins dense que la plupart des gens, rassurez-vous encore : une bonne école vous mettra en contact avec des professionnels de la publicité, qui vous permettront de trouver les bons clients.

Continuer à évoluer, même après la reconversion

Devenir psy à 40 ans, ce n’est pas une fin en soi. C’est le début d’un chemin. Une bonne pratique s’ancre dans une dynamique continue d’apprentissage : groupes de supervision, formations complémentaires, échanges avec d’autres praticiens… Tous ces espaces permettent de rester au clair avec soi-même, d’affiner sa posture, de ne jamais cesser de progresser.

Il ne s’agit pas de devenir « parfait », mais d’exercer avec conscience, humilité et engagement. À 40 ans et plus, on sait que la vie n’est pas linéaire, et c’est justement cette sagesse qui peut faire de vous un praticien précieux.

Mon conseil : Ne cherchez pas à tout maîtriser avant de commencer. À 40-45 ans, vous avez déjà en vous une richesse que beaucoup sous-estiment : votre vécu. Appuyez-vous sur lui, choisissez une formation sérieuse, avancez pas à pas… et faites confiance au processus.

Témoignages : ils et elles ont osé devenir psy à 40 ans (ou plus)

Chez Ita’com, nous avons la chance d’avoir pu accompagner plusieurs quadragénaires dans leur quête de renouveau professionnel. Parmi eux, Marie et Eric.

Marie avait 42 ans lorsqu’elle a entamé sa formation de psychopraticienne. Ancienne DRH, elle rêvait depuis longtemps d’un métier plus humain. « Je croyais qu’il fallait faire cinq ans d’études à la fac… jusqu’à ce que je découvre qu’on pouvait se former autrement, sérieusement, et commencer à pratiquer à notre rythme. »

Quant à Eric, il a quitté le monde du bâtiment à 47 ans pour se lancer dans une formation pour devenir psychopraticien. « Je n’avais pas le bon diplôme, mais j’avais une vraie envie d’aider, et j’ai appris à transformer ça en compétence. Aujourd’hui je gagne ma vie, et j’ai enfin trouvé ma place. »

En conclusion, ce qu’il faut bien comprendre, c’est que la reconversion. La reconversion vers les métiers de psy n’est pas réservée à une élite universitaire. À 40 ans, on peut décider d’apprendre autrement, d’écouter son intuition, de mettre son histoire au service des autres. Ce qui compte, ce n’est pas d’être « dans les clous », mais d’être prêt. Et si pour vous, c’était maintenant ?

Pour finir sur une note positive

Un dernier mot d'encouragement

Changer de voie à 40 ans n’est pas une régression ni un retard à rattraper, c’est un acte de maturité. C’est choisir de mettre son vécu, son expérience et sa sensibilité au service des autres.

Si vous sentez que la relation d’aide vous appelle, ne laissez pas les conventions ou la peur du jugement freiner ce mouvement intérieur. Il existe aujourd’hui des chemins accessibles, sérieux et éthiques, même en dehors du cadre universitaire.

Votre âge n’est pas un obstacle — c’est votre force. Il vous donne cette profondeur humaine, cette stabilité et cette présence qui font toute la différence dans une relation thérapeutique. Ce n’est pas le diplôme qui fait le thérapeute : c’est l’engagement, la justesse, et la sincérité du lien que vous saurez tisser.

Alors si vous sentez que c’est le moment… osez.

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